l'environnement de travail affecte indirectement le présentéisme et les pertes de productivité par une détérioration de la santé mentale et physique; il existe un lien entre la fréquence du présentéisme et la diminution de productivité.
Stress, harcèlement, fatigue intense, violence psychologique… les risques psychosociaux, facteurs de mal-être profond au travail, touchent tous les secteurs d'activité.
Le burn-out est un cycle infernal dans lequel la personne touchée ne se repose plus. Elle travaille pendant son activité professionnelle, pendant ses temps de pause au bureau, et même lors son temps personnel à la maison. Elle devient habitée par la pression qu'elle se met et ce stress la poursuit dans sa vie privée.
Que ce soit une maladie, un problème familial ou une charge de travail accrue, vous n'avez plus envie d'aller travailler. Il est peut-être temps de vous arrêter ! Couper avec un environnement de travail négatif, prendre le temps de se soigner ou de faire face à des obstacles, tout cela fait partie de la vie.
Résumé L'anxiété liée au travail prend racine dans votre vie professionnelle. Elle peut être le fruit de différents facteurs, comme des échéances qui se chevauchent ou une situation économique instable. Si vous en souffrez, sachez que vous n'êtes pas un cas isolé et que ce n'est pas une fatalité.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
Vous travaillez beaucoup et vous vous sentez de plus en plus épuisé, sans ressort : vous ne récupérez même plus le week-end ! Vous vous sentez moins créatif et votre concentration et votre mémoire battent de l'aile. C'est probablement un début de burn-out.
Fatigue psychique et émotionnelle, anxiété, stress, angoisses, humeur triste, hypersensibilité, irritabilité, absence d'émotions, culpabilité, variabilité de l'humeur, tensions psychiques et musculaires, troubles de l'adaptation, ruminations, tachypsychie, perte de l'humour, interprétations négatives des événements, ...
des horaires excessifs. un contact difficile avec le public et notamment la nécessité d'afficher des émotions contraires à son ressenti (rester souriant malgré l'énervement de la personne devant soi par exemple) la violence verbale ou physique. un mauvais rapport avec ses collègues de travail.
Vous sentez que vous perdez votre temps
Il s'agit d'un signe décisif. Si vous avez le profond sentiment de perdre votre temps au travail, c'est que vous n'êtes plus en phase avec votre emploi. Vous ne vous sentez plus à votre place ou vous avez l'impression que ce que vous faites est inutile.
Les pleurs sont perçus comme une marque de faiblesse, une perte de contrôle, et surtout, elles renvoient à l'enfance. Si l'on pleure au travail, il est possible de vite se sentir anxieux et être envahi par la culpabilité de se montrer ainsi sur son lieu de travail, ce qui peut d'ailleurs faire pleurer davantage.
Analyste de données. Le travail d'analyste de données peut être un choix judicieux pour les personnes phobiques sociales. Les analystes de données travaillent souvent seuls sur des projets de données, ce qui peut aider les personnes phobiques sociales à éviter les interactions sociales qui peuvent être stressantes.
Une mise à l'écart à la suite d'un impair
Sous la pression du travail ou des événements de la vie, il peut arriver…il arrive qu'à un moment donné vous ayez manqué de tact, oublié un anniversaire ou, pire encore, qu'à plusieurs reprises vous ayez oublié de saluer vos collègues à votre arrivée au travail.
Un corps qui dit stop se traduit par un épuisement physiologique et mental résultant d'une surcharge mentale ou physique.
Quand les nerfs lâchent, vous pouvez remarquer un certain nombre de symptômes cognitifs : une difficulté à vous concentrer, une perte de la mémoire, un sentiment de désorientation, une forte indécision et le sentiment de ne plus réussir à réfléchir clairement, comme si votre cerveau était empli de brouillard.
un épuisement physique (fatigue extrême, douleurs multiples, etc.) un épuisement intellectuel (troubles de la concentration, de la mémoire, difficultés dans la prise des décisions, etc.) un épuisement émotionnel (crises de larmes, colère, désespoir, etc.) avec, en outre l'impossibilité de récupérer.
Au niveau du cerveau
Le Burn out n'est donc pas qu'une réponse biologique et émotionnelle au stress chronique. Il provoque des lésions organiques, en particulier cérébrales, qui expliquent qu'il faut du temps pour guérir d'un Burn out sévère. On estime que 6 à 24 mois sont nécessaires pour réparer un cerveau.
Sur la partie physique, le burn-out peut laisser des séquelles au niveau du système cardiovasculaire, des muscles et du squelette. Sur les séquelles cognitives du burn-out, celui-ci peut affecter la mémoire, la logique et la concentration, au travail mais aussi dans la vie quotidienne.
symptômes émotionnels : sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes, angoisse, excitation, tristesse, sensation de mal-être… ; symptômes intellectuels : perturbation de la concentration entraînant des erreurs et des oublis, difficultés à prendre des initiatives ou des décisions…
Chacun d'entre nous réagit différemment lorsque confronté à une situation nouvelle ou demandante. On peut classer les signes de stress en quatre grandes catégories : les réactions physiologiques, cognitives, émotionnelles et comportementales.
Sous l'effet du stress, ces manifestations biologiques et physiologiques se modifient et peuvent être responsables d'hypertension artérielle, de crises d'angor (manque d'oxygène dans les artères du cœur), d'accidents vasculaires cérébraux ou d'infarctus du myocarde.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.