Il n'est tout simplement pas à l'aise d'avoir des contacts physiques avec des personnes qui ne sont pas de sa famille proche. D'autres enfants montrent une hypersensibilité aux contacts physiques et n'aiment pas les câlins ni les bisous. Certains de ces enfants sont aussi sensibles à tout ce qui touche leur peau.
Câliner bébé, essentiel
Dès la naissance, on fait du « peau à peau » avec bébé. Cela permet de construire le lien avec l'enfant, (notamment pour le papa) et c'est magique de voir à quel point ça l'apaise.
Il n'a plus envie de ses assauts de câlins parce qu'il grandit et qu'il veut affirmer son tempérament. C'est surtout vers deux ans qu'il va ressentir un besoin d'autonomie et qu'il va vouloir se détacher de vous pour partir à la découverte du monde qui l'entoure et vos bisous sont une entrave.
Les câlins (ou tout autre type d'affection) permettent de créer une petite bulle dans laquelle bébé se sent protégé, aimé. C'est durant ses quatre à six premiers mois de sa vie que vous créez les liens affectifs avec eux. Ainsi, votre relation avec votre tout-petit commence par ces gestes de tendresse.
En cas de simple préférence, votre tout-petit peut osciller entre des périodes "Je ne veux que papa" et des périodes "Je ne veux que maman". Il/elle le manifestera d'autant plus que le parent réagira, car c'est souvent ce que l'enfant cherche à faire, consciemment ou inconsciemment.
Ce n'est que temporaire. La durée varie en fonction de la personnalité de votre enfant ou de son quotidien. Qui plus est, votre bébé possède SA figure d'attachement qui lui est nécessaire dès la naissance. Et c'est généralement sa maman, la personne qui passe le plus de temps avec lui !
Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
Si les propos de votre enfant vous blessent parce que vous avez peur qu'il préfère réellement son père ou qu'il ne vous aime plus pour vrai, il est important de garder votre sang-froid et de toujours vous rappeler que les enfants aiment leurs parents de manière inconditionnelle.
L'enfant qui présenterait des signes d'irritabilité, de colère, d'agressivité, de repli sur soi… Autre signe à repérer : des difficultés de concentration.
Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé. De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
L'enfant dit généralement ses premiers mots entre 12 et 16 mois.
Autre solution en solitaire, les coussins-doudous. « Quand vous avez quelque chose de doux contre la peau, ça vous donne la sensation de ne pas être seul et amène votre cerveau à produire de l'ocytocine.
Forcer un enfant à concéder un bisou peut générer chez lui un malaise chronique. Surtout lorsque les personnes rencontrées ne sont ni de sa famille ni de son entourage proche. L'obliger lui renvoie par ailleurs à l'idée que sa décision concernant son corps ne compte pas et que son consentement n'a aucune valeur.
Pour elle, cette phobie ou ce désamour des accolades et des câlins a une origine bien précise. Elle se trouve dans l'enfance et dans l'éducation affective que l'on a reçue. Les gens qui ont été élevés dans un "foyer tactile" ont tendance à reproduire à l'âge adulte ces gestes facilement.
Lorsque la carence affective se prolonge ou se répète, des signes plus spécifiques apparaissent. Balancements, stéréotypies, automutilations, tous ces comportements ont pour objectif une autostimulation de l'enfant qui cherche ainsi à se sentir vivant.
Vous êtes sa camarade de jeu préférée et il vous demande souvent de lui accorder votre temps et votre attention. Cela peut parfois vous dépasser, surtout lorsque vous avez d'autres tâches à accomplir, mais c'est un signe clair que votre enfant vous aime.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Une maman compréhensive sait qu'elle ne peut vivre votre vie à votre place. Elle sait que vous allez sortir avec des personnes qui ne vous correspondent pas. Elle sait que parfois, la vie sera dure. Mais à chaque fois que vous commettez une erreur, elle sera là pour essuyer vos larmes.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
C'est souvent le cas après la naissance d'un deuxième enfant. Le l'aîné peut se sentir délaissé car la mère accorde (logiquement) plus de soins au nouveau-né. Ainsi, il peut réagir et compenser en réclamant plus la présence de son père. Il peut même montrer de la réticence et une forme de rejet envers sa mère.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.